Low tech, low cost, low consommation, low tourisme.
Tout est low. Basse technologie, faible coût, faible consommation, faible tourisme. Tout est vraiment « faible » ??? Alors oui, on utilise « low » pour se donner bonne conscience.
Finalement, ça n’est peut-être pas dans le « low » qu’il faut s’orienter mais vers le « high » pour être plus « aspirationnel ». High tech, Luxe (high cost), high consumption (sur-consommation) … pour l’innovation, la découverte, le matérialisme plaisir.
Peut-être faudrait-il juste prendre le sujet autrement ?
Il est temps de cesser de croire qu’on changera la planète en achetant uniquement des produits et services plus verts ou éco-conçus (qu’ils soient low ou high).
Certes on a optimisé la conception et la production, mais du fait de la démographie, on continue à consommer plus, et plus vite.
Diminuer son impact environnemental par unité produite, c’est bien. Mais si en parallèle l’objectif est de multiplier les ventes par deux… Tout cela n’est finalement pas très durable.
Il semble également que la consommation à tout va ne nous rende pas plus heureux. Peut-être faudrait-il réfléchir à consommer mieux ? Et comprendre ce qui nous rend durablement heureux, en réfléchissant à ce qui coûte le moins à la planète (https://happyplanetindex.org).
Donc, il doit bien y avoir une autre voie…
Il s’agit sans doute du bon sens. Car comme nous le disent nos médecins depuis toujours, on peut manger de tout ; il suffit juste de ne pas en abuser. Check !
En fait, pour la consommation, c’est un peu pareil.
Certes, la nouveauté, la technologie sont attractives (elles le seront d’autant plus si elles servent le durable). Mais ne pourrions-nous pas juste profiter mieux de ce que nous avons, en consommant mieux, plus local (moins loin), en respectant la saisonnalité, en en profitant plus longtemps et en économisant et recyclant ? Sans oublier de prendre le temps.
Il faut se raisonner, pour continuer à profiter.
Ce serait donc ça, la « consommation durable » ?
Elle repose sur 3 piliers :
– La dimension environnementale, à savoir mieux consommer et moins gaspiller, acheter et consommer les produits plus écologiques et consciencieux lors du recyclage des déchets.
– La dimension sociale.
– La dimension économique.
S’engager sur le long terme et respecter l’environnement.
Ce qui est sûr, c’est qu’on ne peut plus continuer à être insouciant. Alors reprenons la main et donnons du sens à nos choix pour consommer mieux et être heureux… durablement. Et Oozbo – l’agence des marques positives, s’engage auprès d’acteurs de l’industrie, du tourisme, du sport, des transports, de la restauration et des collectivités.
