Construire une marque positive : raison d'être à engagement concret

Construire une marque positive

de la raison d’être à l’engagement complet et l’impact.

Le marketing ne peut plus se contenter de vendre des promesses. Les publics, qu’ils soient internes, partenaires ou clients, sont de plus en plus attentifs, informés et exigeants, la communication d’une marque se doit d’être véritablement alignée avec son action. Chez Oozbo, nous accompagnons les marques dans leur démarche de transformation vers une posture plus authentique, utile, humaine et positive. Ce parcours s’articule autour de cinq piliers fondamentaux, que nous détaillons ici.

1. Définir sa raison d’être et clarifier sa vision

Avant de parler, il faut savoir pourquoi on existe. Trop de marques s’engagent dans des activations RSE ou de la communication sociétale sans avoir réellement posé les fondations de leur engagement. Définir sa raison d’être, ce n’est pas remplir une case, c’est se demander en quoi l’entreprise est utile au monde, et quel rôle sociétal elle souhaite jouer.

Cette clarté permet de prendre des décisions plus justes, plus cohérentes, et d’assumer une posture différenciante sur son marché. Elle constitue également un levier puissant d’adhésion pour les publics internes, qui peuvent enfin comprendre la vision à long terme de leur entreprise.

2. Aligner le discours et les actions pour construire une marque positive

Une marque positive est avant tout une marque cohérente. Il ne suffit pas de revendiquer des valeurs fortes ou de s’engager publiquement sur des sujets de société. Encore faut-il que cela se traduise par des actions concrètes, visibles et mesurables.

Cet alignement passe par une relecture de l’ensemble des prises de parole, mais aussi par une vérification des processus internes, de la chaîne de production jusqu’à la relation client. Une dissonance entre le discours et la réalité est aujourd’hui détectée très rapidement et peut être très délétère pour l’image de marque. Le greenwashing, le purpose washing, le social washing ne passent plus.

Chez Oozbo, nous aidons les marques à redéfinir leur discours, en partant du terrain, en s’appuyant sur des preuves et en osant aussi parler des limites et des zones grises. Et c’est ce que nous avons fait pour un des leaders du food services en France, sur un nouveau segment de marché (snacking Sysco). Parce qu’une marque vraie, ce n’est pas une marque parfaite, c’est une marque honnête.

3. Faire vivre la marque en interne

Les premiers ambassadeurs d’une marque, ce sont ses salariés. Or, trop souvent, ces derniers ne connaissent ni la raison d’être, ni les engagements pris par leur entreprise. Il est alors illusoire d’imaginer que ces valeurs vont infuser l’extérieur si elles ne sont pas incarnées en interne.

Une marque positive se construit d’abord de l’intérieur. Cela passe par la formation, le dialogue, la co-construction, mais aussi par le soin apporté à l’expérience salariée. Le sens ne se décrète pas, il se vit.

Des dispositifs comme le storytelling interne, les ateliers d’idéation, ou encore la mise en lumière des initiatives individuelles renforcent le sentiment d’appartenance et de fierté. La communication interne devient alors un levier de mobilisation et de cohérence.

4. Raconter des histoires vraies pour toucher les publics

Aujourd’hui, les consommateurs attendent des marques qu’elles racontent de vraies histoires, qu’elles montrent les coulisses, qu’elles incarnent leurs engagements par des personnes réelles et non par des slogans. Le storytelling n’est pas mort, il s’est transformé.

Fini le récit linéaire centré sur la marque-héros. Place à l’émotion, au terrain, à l’humain. Chez Oozbo, nous valorisons les parcours des collaborateurs, des fournisseurs, des clients eux-mêmes. Nous racontons comment un reconditionneur d’appareils électroniques change les habitudes de consommation (Yes-Yes) ou comment une entreprise de mobilité douce agit concrètement sur son territoire (avec Curvway).

Ces histoires vraies créent de la connivence, de l’adhésion, et renforcent la crédibilité de la marque. Elles donnent un visage et une voix à l’engagement.

5. Mesurer et valoriser l’impact

Enfin, aucune démarche de marque positive ne peut s’installer durablement sans un suivi rigoureux de ses résultats. Il ne s’agit pas uniquement de KPIs marketing ou de taux d’engagement sur les réseaux sociaux, mais bien d’indicateurs d’impact social, environnemental, sociétal.

Ces données doivent être partagées avec transparence, intégrées dans les récits de marque et utilisées comme leviers de pilotage. Elles permettent aussi de reconnaître les progrès, de valoriser les efforts et d’identifier les axes d’amélioration. Parce qu’une marque authentique ne vend pas du rêve : elle agit, mesure, ajuste et progresse.


Chez Oozbo, nous croyons que les marques ont un rôle essentiel à jouer dans la construction d’un monde plus juste, plus humain et plus durable. Mais cela ne peut se faire sans stratégie, sans alignement et sans une communication sincère. Une marque positive n’est pas une marque parfaite : c’est une marque qui avance, qui partage, qui inspire.

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